Hélianthe au conseil des XII... et autres trucs

[8 mars - début d'après-midi - 5e étage, 8e porte à gauche, bureau 2B, Bureau Economie du département économique]

La porte est entrouverte et des éclats de voix s'échappent du bureau.
La discussion qui se tient là a pour sujet le fer issus des mines helvètes. Doit-il être donné de façon équitable aux cantons, ou bien vendu, les villes ayant une forêt doivent-elles en recevoir davantage... Rien de bien passionnant.

[...]
- Oui, j'ai compris Tofy, l'idée n'est pas mal, la prochaine guerre/défense arrivera surement.
Si j'ai parlé des haches, pas des sceaux, c'est parce que dans les cantons forestiers les haches sont évidentes
Donc on fait comment ? Je donne une partie, je vends une autre ? Je distribue 5 fer en proposant que Berne rachète une épée  ?
- Pourquoi demander puisque vous n'en ferez qu'à votre convenance, comme pour tout le reste ?
- Tofy... propose une solution et on l'applique
- Alors pourquoi quand Atomlik propose une solution pour les quotas, "on" ne l'applique pas ?
- Quelle solution ?

Hélianthe tapote des ongles sur la table en détaillant longuement le chancelier.
tadap tadap tadap tadap...
- J'ai franchement autre chose à faire...

Hélianthe se lève, contourne les fauteuils cramoisis, pose ses deux mains sur ses hanches, prend une profonde inspiration, accentue la cambrure de son dos pour mettre en avant son décolleté et fait papillonner ses cils :
- Mon pauvre petit chou, je comprends... Vous avez autre chose à faire que vous tenir informé des affaires en cours ? Mmh?
Et bien moi aussi, j'ai mieux à faire que vous les expliquer.

Elle retire sa robe de procureur et la jette sur la tête du chandelier.
Je démissionne.
Salut les chèvres !

L'ex porte-parole en tunique courte, ex procureur des placards tourne les talons sans attendre son reste et quitte les batiments de la Diète sise à Fribourg.
Elle se rend directement chez le marchand de chevaux, en choisit un et part rejoindre sa famille sans se retourner.
Parce que c'est important la famille !

Du grand Helianthe !!!

Bravo cousine, j'en oublierai presque que tu es devenue une Pizeto.

Pfiouuuu...
C'est corsé, très relevé comme il se doit.
"Emballé façon Pizeto", n'en déplaise.

Elle est quand même bonne, la Tante...

Halle de Toulouse - [RP Animation ] Dis moi tes chiffres, je te dirai tout !

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Sebille Inscrit le: 31 Jan 2013 Messages: 28	[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]Posté le: 18 Juin 2013 08:03    Sujet du message: [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Enfin arrivée à Toulouse avec le reste de la famille. Une petite balade avant le petit déjeuner: petit pois farcis pour ce mardi matin. Un régal en bouche! En attendant, elle s'arrêta devant une affiche sensée donner des indications sur votre vie. Rigolo comme truc; une sorte de concurrence à sa mère Rolandes, qui elle lisait l'avenir dans la paume de main et les cosses de petits pois. J'ai filé une rouste à un jupon, et il faut dire que j'suis douée pour ça... Mmmmm...mmmm....Jusque là j'étais une non violente, mais il y a bien une brune qui m'agace au plus haut point. Ce serait elle le jupon? Du coup ce truc là dit l'avenir, et non le passé. Il faudra être attentive pour vérifier la véracité de la prédiction.
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Helianthe Inscrit le: 10 Mai 2012 Messages: 129	[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]Posté le: 18 Juin 2013 10:22    Sujet du message: [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Hélianthe jette un œil par-dessus l'épaule de Sébille sur le placard qui semble retenir toute l’attention de la jeune fille. Pour elle, ça donne... J'ai mis le feu à un char à bœufs, et j'en redemande encore et encore ! ... Pas sure que la comparaison avec le char soit des plus appropriée. Cela dit, si on s’y penche un peu... il faut bien reconnaitre que quand il ne grince pas, par sa solidité, son calme, sa grande force de traction et son endurance le char à bœufs ne présente que des avantages... Et ce n’est rien en comparaison de ce qui se passe quand on l’allume... Hélianthe soupire de dépit d’avoir laissé son char à bœufs vingt lieues derrière elle.
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